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Le savais-tu? 25 millions ont été extorqués par hameçonnage en Belgique en 2022

L'hameçonnage, ou phishing, est devenu un fléau majeur en Belgique, avec des pertes estimées à 25 millions d'euros en 2022. Cette forme de cybercriminalité consiste à tromper les individus pour qu'ils révèlent des informations personnelles ou financières, souvent par le biais de courriels frauduleux qui semblent provenir d'institutions fiables.


Un phénomène en croissance

Malgré les efforts des autorités pour sensibiliser le public, le phishing continue d'affecter un large éventail de personnes. En 2023, le montant total dérobé par cette méthode a atteint près de 40 millions d'euros, indiquant une stabilité inquiétante dans l'ampleur du problème. Environ 75 % des tentatives de fraude ont été neutralisées grâce à des mesures préventives mises en place par les banques, mais cela ne suffit pas à endiguer la vague d'escroqueries.


Les victimes au cœur du problème

Les victimes du phishing sont souvent issues de tous les horizons. Selon une étude, 9 % de la population belge n'a jamais entendu parler du phishing, et près d'un tiers des jeunes ne connaissent pas ce terme. Cela souligne l'importance cruciale de l'éducation et de la sensibilisation face à cette menace omniprésente.


Les techniques utilisées par les escrocs

Les cybercriminels utilisent diverses techniques pour piéger leurs victimes. Parmi celles-ci figurent :

  • Emails frauduleux : Ces messages imitent souvent des communications officielles, comme celles des banques ou des administrations publiques.

  • Faux sites web : Les victimes sont redirigées vers des sites qui ressemblent à des plateformes légitimes, où elles sont invitées à entrer leurs données personnelles.

Vishing : Une variante par téléphone où les escrocs se font passer pour des représentants d'institutions financières pour obtenir des informations sensibles.


Comment se protéger ?

Pour réduire les risques d'être victime de phishing, il est essentiel d'adopter certaines pratiques :

  • Ne jamais cliquer sur des liens dans des emails suspects.

  • Vérifier l'authenticité des communications en contactant directement l'institution concernée.

Utiliser des outils comme l'application SafeOnWeb, qui alerte sur les cybermenaces et permet de signaler des messages suspects


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